La Botanique

Les mutations fournissent les matières premières nécessaires à la production de nouvelles espèces. Ici, la microévolution part du principe que les mutations ou changements aléatoires dans le code génétique des plantes et des animaux, peuvent produire non seulement de nouvelles espèces, mais aussi des familles entières de nouvelles plantes.

               Des mutations peuvent produire des modifications chez les descendants des plantes. Par la sélection naturelle (processus au cours duquel l’organisme le mieux adapté à son environnement a plus de chance de survivre et de se reproduire) en découvrant de nouvelles variétés végétales de la même espèce à partir de mutations aléatoires.

               Depuis un certain temps, une sélection artificielle dirigée par l’homme au moyen d’une greffe pourrait le faire encore plus efficacement. Elle donne d’excellents résultats c’est le travail des généticiens qui poursuivent des travaux (M. Lönnig).

L’homme ne peut transformer, ni les recherches ne peuvent transformer une espèce originelle en une autre entièrement nouvelle.

De nos jours, les évolutionnistes enseignent que, à mesure que les espèces se sont dispersées et qu’elles se sont retrouvées isolées, la sélection naturelle a choisi celles dont les mutations génétiques serraient les plus aptes à survivre dans leur nouvel environnement.

               En conséquence de quoi, les mutations ne peuvent produire des espèces entièrement nouvelles de plantes ou même d’animaux. Par Exemple :  La Tulipe.

LA CLASSE ÉCOLOGIE/BOTANIQUE (Activité de 2019 -2021) :

L’Archéobotanique, a permis aux jeunes enfants de 6-12 ans de bénéficier de pratiques manuelles, appuyées par le dessin.

La Classe écologie/botanique a été réalisée en pleine nature, où les enfants sont en dehors des murs de béton et où ils sont face aux réalités de terrain.

Dans le cadre du transfert de savoirs, ils ont eu trois objectifs à atteindre :

• Savoir identifier les espèces végétales de proximité et les contextualiser.
• Comment décrire les structures atomiques, d’après ce qu’ils observent directement à la loupe à la main.
• Parvenir à devenir autonome en matière d’identification superficielle (travail de comparaison directe de l’écorce) afin d’exercer la mémoire.

Les travaux pratiques ont été développés à partir des ateliers.

Les enfants ont pris plaisirs à mieux repérer les arbres de leur environnement immédiat grâce à leurs feuilles qu’ils ont dessinées et mises en relief.

Chaque fois que le dessin ne correspondait pas à la réalité, il était repris. Tous les dessins ont été faits à main levée.

Les acquis anatomiques renforcés leur permettront de mieux aborder les cours de Biologie à venir.

La mémoire visuelle a été renforcée. En matière de botanique, toutes les identifications ont été réalisées sur le terrain.

L’objectif de la classe écologie/botanique est de leur permettre de se familiariser avec ce qu’ils voient, moyennant l’observation directe et une restitution identique.